Ciel mon ex !
-Salaud !
-Quoi… Quest-ce que tu fais là ?
-Fumier !...
-Ça fait au moins cinq ans quon ne sétait plus rencontrés…
-Jai lu ton blog… Mais tu es un monstre…
-Cest par ta voix quand tu cries que je tai reconnue… physiquement, je ne te remettais plus…
-Ah ! ça te fait jouir décrire des saloperies sur mon compte…
-Ecoute, tu ne tappelles pas Zézette…
-Et le Gros ? Hein… Cest qui le Gros ?
-Mais enfin, Amadéa, cest toi-même qui ne supportait pas que je lappelle ainsi et voilà que cinq ans après tu déboules don ne sait où pour mengueuler en lappelant le Gros… tu nes pas logique avec toi-même !
-Tu te prends pour Woody Allen, ma parole !
-Jaime beaucoup ce quil fait, mais je ne vois pas le rapport !
-Ah ! tu ne vois pas le rapport ! Mais tu me fais le remake de « Harry dans tous ses états » en déballant tes immondices, espèce denculé…que le Gros maurait séduite sur le Chemin des Dames, en me farcissant la tête de ses contes de la guerre de 14…
-Mais, voyons, Amadéa, calme-toi… je nai pas parlé de « La Belle du Seigneur » quil tavait offert… Sil avait fallu parler dun livre, jaurais plutôt pensé à « Ceux de 14 » de Maurice Genevoix...
-Tu ne peux pas aller fouiller dans tes propres poubelles à la con ?
-Tu sais bien quinventer a toujours été ma difficulté. Je pars dune situation qui me vient à la mémoire, je te jure que je ne pensais pas à toi. Si ça avait été le cas, ça aurait été pire…
-Cest que tu veux avoir raison ma parole… Tas toujours eu raison. T‘es raisonneur professionnel…
-Calmons-nous et envisageons tout depuis le début. Ce nest pas ma faute sil te chevauchait en tappelant sa grosse bertha ! Cest toi qui me las dit…
-Tu ne cesses de me traîner dans la boue, fils de pute ! Tu reviens avec des histoires vieilles de 8 ans !
-Tu vois bien. Ce sont de vieilles histoires. Au fait tas combien maintenant ? 54, 55 ?
-Mais le monstre, il ose me parler de mon âge, lui quen a le double !
-Autant pour moi. Quand nous nous sommes quittés, souviens-toi, tu mas jeté à la face que tavais 16 ans ! Sur 8 ans tas beaucoup changé. Ten aurais 24 à ctheure… Eh ! bien…
-Ordure, tu les découpes dans tes magazines de cul, tes femelles ? Tu oses me comparer à tes putes…
-Est-ce que je tai appelée la Pouffe ? Non. Je ne tai jamais appelée la Pouffe…
-Ah ! non… comment tu mappelais ? Espèce de sale menteur…
-La pouffe, daccord… mais cétait pour lautre… Tes pas la seule pouffe, non ?
-Mon cul, oui…
-Comment va-t-il ? Toujours autant de visites ?
-Je ne sais même plus pourquoi je suis venue, tellement tu mécoeures…
-Tu étais venue pour me parler de « ceux de 14 »…
-Méfie-toi que je ne lui dise tout et quil ne vienne te casser ta gueule denfoiré…
-Qui le Gros ? Mais il est aux vieux !...
-Non pas lui, mais celui avec qui je suis…
-Ah ! tes avec un autre…
-Cest ça fait landouille, comme si tu ne le savais pas…
-Jen ai vaguement entendu parler.
-Tu veux que je te donne des détails ?
-Non. je serais capable sans le faire exprès de lintroduire dans une histoire…
-Menteur. Tu vas finir par me dire son nom que tu vas estropier pour te moquer comme tu le faisais avec le Gros.
-Jai fait ça avec le Gros ? Non !...
-Encore un mot et tu as affaire à Arturo.
-Arturo Siffredi ?
-Et alors, ça te regarde, il est aussi Belge que toi.
-Tu vois comme tu es ! Jai rien contre. Je suis étonné… Arturo… Cest tout. Quelquun mavait dit que tétais avec Alyoun, un Sénégalais. Je suis étonné quAlyoum sappelle Arturo, cest tout.
-Non. Cest trop. Je ne veux plus tentendre. Tu passes les bornes. Je te préviens, Richard, cest la dernière fois que tu me traites de pute dans tes immondes blogs. Tas compris ?
-Pour le prochain, je pensais à lhistoire dun type qui monte dans un car et qui saperçoit que sa femme flirte avec le chauffeur…. Ils sen vont sans lui dire au revoir. Cest le seul défaut qui ma toujours gêné chez toi Amadéa, tu pars sans dire au revoir…
Tiens, elle est partie…
Commentaires
Mieux vaut être raisonneur professionnel que journaliste professionnel !
Postée par Nain Dien | 29 août 2005 - 00:11