Alagón
Cest un cavalier
Le crâne brillant sous la lune
Dont les bottes battent les flancs
Dune jument panarde
Sans à-coup
Sa culotte de peau
Luisante comme la toile de leau
Monte et descend
Soufflet de forge
Sur le cuir dune selle de Cordoue
Avec des floc
Avec des flac
Cest là tout son discours
Depuis une vingtaine dannées
Et encore
Ne le dit-il bien
Quavec le cul
Vas
Vas
Ne recule pas bravacón
Sil est dautres combats
Pourquoi pas celui-là
Ne recule pas
Il ny a pas de refuge
A labri de ses yeux
Sil faut mourir
Pourquoi pas là
Toro
Toro
Vois le regard quelle a
Je mourrais pour ce regard-là