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Les pète-sec Bar et Véro ont la cote…

Ah ! les parents, je le dis tout net, me font chier avec leur Saint-Barthélemy et leur Collège Sainte-Véronique à Liège, comme d’autres me font chier ailleurs à Ixelles et à Jette au Collège Saint-Pierre.
A croire que seuls les ratichons sont les seuls à pouvoir scolariser les mômes, encore que dans ces établissements « catholiques » les soutanes se soient faites rares.
La religion n’est plus ce qu’elle était. Les gens ne distinguent plus des valeurs de la laïcité, des mystères de la foi, le tout dans la mixité neutre qui fait le futur bachelier.
Si j’avais un gniard bon pour une école d’enseignement moyen en 2008, j’irais l’inscrire dans l’athénée le plus proche et je me ficherais de ce qu’on dit des lieux, par contre je ne lâcherais pas dans la nature ma progéniture sans la tenir à l’oeil.
Et j’obtiendrais le maximum de ses possibilités, à force de compréhension attentive.
Car les parents ont les moyens de savoir si le môme travaille ou se fout de ce qu’on lui apprend. Ils ont les moyens de contrôler s’il ne traîne pas ses grolles dans des impasses à fumette avant de rappliquer au bercail.
A croire que les campeurs devant les bureaux d’inscription passent une mauvaise nuit pour se dédouaner d’assurer une permanence de surveillance de leur descendance.
Ils se disent, je me sacrifie pour qu’il soit en de bonnes mains, puis ils s’en foutent, ils ont fait leur devoir.
Si même il y a des gens sérieux qui croient bien faire en glandant devant le bureau du proviseur puis qui suivent l’enfant jusqu’à la fin des humanités, la plupart pensent avoir fait leur bonne action en se sacrifiant une nuit et puis basta !...
Car les statistiques sont là.
Que ce soit chez les mondains qui passent plus de temps à choisir leurs amis et leurs cravates qu’à ouvrir le journal de classe ou chez les « pauvres » qui doivent se farcir un boulot dégradant et abrutissant pour avoir le droit de respirer dans ce qu’on appelle encore momentanément la Belgique, il y a unanimité : on laisse aller la génération suivante à ses penchants, à ses manies.
L’état dégradé de la société le prouve.
Quand on voit les profils bourgeois coincés ou immatures de parents, avec la connerie de certains inscrite sur les visages, les lieux communs des plus instruits et le peu d’intelligence des autres, on se dit, ceux-là, sans le faire exprès, en lâchant la bride de leurs gniards, leur donneraient au moins une chance !...
Le problème n’est pas l’école qui lave plus blanc, qui a le label le plus sévère, qui habille les filles dans des sacs bleus uniformes et qui enlèvent des points quand des socquettes blanches tirebouchonnent, non, le problème est sur le trottoir parmi les gens qui comptabilisent leurs heures d’attente pour qu’elles soient reprises plus tard dans les griefs qu’ils rappelleront au fils quand viendra le jour de la visite à la maison de retraite …

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La société, ce sont eux qui la font ! Si cela merde, c’est de leur faute unique et définitive.
Ils croient que réussir c’est avoir une valise de diplômes pour ramasser du beau pognon et mépriser ceux qui n’en ont pas. Ils se donnent en exemple : le travail, et le drapeau à la fenêtre, même ceux qui n’ont pas fini leur primaire. Ils ne savent même plus qu’ils existent et ce qu’est la vraie vie en-dehors de ce qu’ils appellent réussir et qui n’est qu’une aliénation sans le reste.
Ils croient bien éduquer la descendance en l’envoyant dans des lieux qui ne fera que duplicater leur connerie.
Personne ne se soucie du contenu des livres dont on va farcir la tête des enfants. Songes creux d’une fausse civilisation qui les conduit à croire qu’être un bon élève aujourd’hui assure le bonheur de la famille et celui du citoyen !
Finalement, c’est plus l’horreur de finir ouvrier d’usine qui les stimule que le plaisir de savoir la tête du fiston ornée des meilleurs auteurs.
Ce n’est pas le développement harmonieux qu’ils cherchent, mais le moyen le plus efficace de faire du fric.
Leur idéal, c’est la plaque de cuivre à côté de la porte, et les clients qui font la file pour apporter leur argent à la profession libérale.
Ils ne savent même plus qu’ils sont parties prenantes de la dégradation des personnels à tous niveaux, que ce soit chez Arcelor-Mittal, chez Fortis, ou dans les facultés…
Ils n’aiment pas se frotter à une population différente, parce qu’ils ne veulent pas voir les dures réalités de notre époque et surtout qu’ils ne veulent à aucun prix imaginer qu’ils font partie de l’ensemble. Ils s’interdisent à penser que l’émigré et l’ouvrier malchanceux qu’on exploite par le loyer prohibitif d’un galetas de 15 m², c’est en partie à cause d’eux. Ils ne veulent pas voir qu’on est tous embarqués sur la même galère et que ce n’est pas parce qu’on est sur le pont qu’il faut se croire à l’abri, ne serait-ce qu’à cause des odeurs qui remontent de la cale qui associent l’ensemble à la puanteur générale.
Ils croient que les écoles qui accueilleront les futurs citoyens sont les meilleures. Ils se trompent. C’est la valeur de l’homme ou de la femme qui se trouvera devant 20 ou 30 mouflets qui compte. Et ça, ni Saint-Bar, ni Sainte-Véronique, ni aucun autre établissement ne peut le certifier, même pas le proviseur de ces endroits à la mode.
Ce qu’ils veulent ce n’est pas la qualité du produit, ce qu’ils veulent c’est la belle tenue de l’étiquette. Ils aspirent à être branchés !... Ils admirent l’adjudant-préfet dans l’instruction, la ganache dont la vocation contrariée était la cavalerie

Commentaires

la cellule familiale reste le berceau d'une bonne éducation à transmettre et des valeurs humanitaires;;;; CE N'EST PAS EN ENVOYANT SA PROGeNITURE DANS LES GRANDES ECOLES UNIQUEMENT QU'ON EN FERA DES GRANDS HOMMES CAR LA GRANDEUR DE L'HOMME SE MESURE à SA CAPACITE A AIDER AUTRUI, A PARTAGER AVEC SES SEMBLABLES ET CONSTRUIRE UN MONDE MEILLEUR!

la cellule familiale reste le berceau d'une bonne éducation à transmettre et des valeurs humanitaires;;;; CE N'EST PAS EN ENVOYANT SA PROGeNITURE DANS LES GRANDES ECOLES UNIQUEMENT QU'ON EN FERA DES GRANDS HOMMES CAR LA GRANDEUR DE L'HOMME SE MESURE à SA CAPACITE A AIDER AUTRUI, A PARTAGER AVEC SES SEMBLABLES ET CONSTRUIRE UN MONDE MEILLEUR!

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