Un zouave en ligne.
Qu’Artémise se la recopie : cette société n’est plus viable !
C’est simple. Tout vieux qu’on est, on a encore des sentiments, une gamine de cinquante piges, « Allez donc ! c’est pas mon père ». Avec du boniment… il y a quarante ans, elle compteur bloqué, moi machine arrière des kilomètres, j’aurais pu dire « le ciel n’est pas plus pur que le fond de mon cœur » en lui mettant la main aux fesses, sans qu’elle appelle police secours.
Mais aujourd’hui ! mon compte est bon. Cette société n’est plus viable et pas que pour moi.
Le gouvernement Wilmès, en avant bibiche dit Charlot et pire, celui du bigoudi montois, ils n’ont été et ne seront jamais compatibles à l’intérêt général.
Exactement comme le débris devenu, de la case du jeu de l’oie de la vie, je pourrais finir satyre à la case prison, moi parfait honnête homme, qu’on salue avec respect quand je sors le nez de mes livres.
Sartre dirait montant sur une chaise à Saint-Germain « Il y a une dissociation entre la démocratie élective et la population, puisque les élus sont incompatibles avec toute autre formule que libérale. », le plus dur venant après, quand Simone l’aide à descendre du siège pour ne pas que le philosophe donne du cul sur le guéridon du café de Flore et fiche par terre le Gin dry british, son sixième de la journée.
C’est vrai qu’on n’en peut plus et qu’on écrit n’importe quoi pour passer sa colère. Mais bon sang ! l’économie au cœur de la nécessité générale, il faut que le peuple en soit propriétaire !
L’affaire des masques pète au nez de tout le monde.
N’importe quel illettré pedzouille au fond d’une impasse aurait mieux fait que Maggie.
Or, les partis de gouvernement sont tous impliqués dans les conditions de l’ancien système. Ils ne peuvent s’en dissocier.
L’idée de sortir de cette économie qui ne fonctionne plus, serait qu’elle reparte sur des bases communautaristes.
Dès qu’on passe de l’intérêt privé à l’intérêt général tout change, comme moi, avec Artémise, l’œil frais, la bouche en cœur, hypocrite comme dix Wilmès, faux derche comme cent Bouchez « Ma douce, ce n’est pas péché que pécher en silence ». C’était dit à la sincère, comme Colin Powell exhibant sa fiole de cannelle à l’ONU, preuve indubitable de la fourberie de Saddam Hussein.
Ils pèchent en silence, mais tout se sait. Les combines de Bacquelaine et son petit pactole en rab dans les maisons de retraite, Maggie grosse charmante des tables de la guilde gourmande, Marghem qui rêve de transformer Hedebouw en punaise de lit pour l’écraser à l’aise sur son traversin, d’un oncle peint par son compagnon.
L’intérêt privé étant pas nature à l’opposé de l’intérêt général, comment restaurer les hôpitaux et les centres d’accueil, par exemple, pour une population qui a pu mesurer les carences du système libéral lors de la pandémie, sinon en inversant l’intérêt public/privé ?
La restauration des autonomies locales est hautement désirable. Elles sont la fabrique anthropologique du « monde d’après ». Or, de l’Europe à l’État belge, les volontés s’affirment de ne rien changer à la politique commerciale dans la perspective du libre échange. Le but est de poursuivre l’enrichissement des particuliers, ce qui a pour conséquence la destruction à terme de la planète.
Quand il s’agit de l’économie, on demande aux patrons ce qu’il faut faire et quand il est question d’un problème social, les ministres font un syndrome d’Asperger.
L’économie type du gouvernement tient au désir illimité des consommateurs que les productions tentent de satisfaire. Conséquence : division du travail pour remplir les rayons et réussir à se faire des ronds. Objectif production maximale et plein emploi : le système est condamné à s’étendre et à surproduire indéfiniment.
Comment sortir du marché en valeur d’échange à celui du contentement des besoins sociaux et de santé ?
Un doute m’assaille. Vais-je publier cette chronique sur FB ? Le cybercarnet, est suffisant. Un paragraphe passe sur FB, un peu comme le journal La Meuse pour appâter le lecteur. Sauf que mon blog est gratuit. On clique, ou on ne clique pas. Richard3 fait deux pages, ça décourage…
Enfin, cause toujours beau masque… pardon Artémise. J’étais sincère.